À la limite, BORDERLINE aurait pu s’intituler No Limits #2, par suite du titre donné en 2020 à une exposition collective curatée pour les 30 ans d’Interface.
Elle a été nommée aussi pendant longtemps À bruit secret * en mémoire de l’œuvre de Marcel Duchamp à laquelle je m’étais permis de faire allusion dans une œuvre de jeunesse (Sans bruit secret, 1994) à l’Ensa Dijon en enfermant entre deux plaques de plexiglas du coton hydrophile.
Mais après avoir sondé souvent les limites spatiales d’Interface, il est question ici d’œuvres plus autonomes qui prennent place dans un accrochage classique, volontairement dense où la limite, la frontière, la marge, le dedans-dehors, le contenu-contenant et le vu-non vu sont convoqués.
Extrait du texte introductif de Frédéric Buisson
Cette visite est organisée avec Interface.